Une histoire de CONSENTEMENT

Le géant italien compte 110 ans dans le monde de l'automobile, sa longue vie a donné pour beaucoup, des succès, des échecs, des fusions, des achats, des ventes … mais son esprit suit intact, les modèles comme le nouveau 500 pareil le manifestent. Aujourd'hui dans notre blog consacré au monde du moteur nous vous comptons brièvement l'histoire passionnante de l'une des marques les plus respectées dans le monde de la fabrique d'automobile.

• UN CONSENTEMENT; l'Italie (l'Usine Italienne Automobili Torino).
• Fondée le 11 juillet 1899.
• Les modèles emblématiques : Zero, 500, Topolino, 600, 1400, 1500, le Panda, un Rythme …
• Les modèles dans une production : Le grand Point, nouveau 500, Brave, Sedici, Panda.

Un consentement est né à Turin après la réunion soutenue par trente hommes d'affaires dont l'objectif commun était la fabrication d'automobiles. Sa première mesure a été l'achat d'une petite entreprise qui avait commencé la production de voitures à côté de l'usine de pâte de G. Lancia. Placée dans le Dante de Turín Corse, la première usine de Consentement disposait de 12.000 mètres carrés et dans elle 150 personnes travaillaient. Les premières voitures bombées de cette usine portaient un moteur postérieur et étaient similaires à ceux que l'entreprise acquise construisait. Bientôt, le groupe d'entrepreneurs dirigés par Giovanni Agnelli, a chargé la fabrication d'un nouveau moteur de devant.

En 1906 environ 2.500 personnes travaillaient déjà dans les installations de Consentement, l'avenir de la marque était splendide, dédié à construire des automobiles de luxe, il a profité du succès que ses voitures à des mains du propre Agnelli et de Vicenzo Lancia (un fils du propriétaire de l'usine de pâte et un fondateur futur de Lancia) obtenaient dans différentes compétitions sportives. En 1912 la fabrication a commencé dans une chaîne de modèle Zero et peu après arriveraient les modèles comme le Balilla et le Topolino qui ont été fabriqués en Italie et dans d'autres pays.

Après la 2e Guerre mondiale, le Consentement recommençait à fabriquer les petits modèles, un refuge parfait pour prendre une impulsion, pour s'enfoncer sur de nouveaux champs et pour élargir des horizons. Dirigée toujours par la famille Agnelli, le Consentement a commencé à acquérir le reste de signatures italiennes consacrées au monde de l'automobile, d'abord c'était Lancia, Abarth, Autobianchi et mythique Ferrari á côté de son écurie de Formule 1. Par la suite et en 1979 le Groupe Consentement a été créé et à l'antérieurement cité Innocenti, Alpha Soupirant et Maserati se sont unis, á côté des marques de camions Unic et d'Iveco.

Cependant, à la fin de 80 et tous 90, le groupe italien n'a pas passé par ses meilleurs moments et le frimeur de la faillite le guettait. En 1999 elle s'est trouvée obligée à signer un accord de coopération avec le géant américain Général Motors.

Au début du XXIe siècle, la signature italienne a recommencé à resurgir grâce à ses modèles Grande Punto, Brave et au nouveau 500.

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Une histoire de CONSENTEMENT

Le géant italien compte 110 ans dans le monde de l'automobile, sa longue vie a donné pour beaucoup, des succès, des échecs, des fusions, des achats, des ventes … mais son esprit suit intact, les modèles comme le nouveau 500 pareil le manifestent. Aujourd'hui dans notre blog consacré au monde du moteur nous vous comptons brièvement l'histoire passionnante de l'une des marques les plus respectées dans le monde de la fabrique d'automobile.

• UN CONSENTEMENT; l'Italie (l'Usine Italienne Automobili Torino).
• Fondée le 11 juillet 1899.
• Les modèles emblématiques : Zero, 500, Topolino, 600, 1400, 1500, le Panda, un Rythme …
• Les modèles dans une production : Le grand Point, nouveau 500, Brave, Sedici, Panda.

Un consentement est né à Turin après la réunion soutenue par trente hommes d'affaires dont l'objectif commun était la fabrication d'automobiles. Sa première mesure a été l'achat d'une petite entreprise qui avait commencé la production de voitures à côté de l'usine de pâte de G. Lancia. Placée dans le Dante de Turín Corse, la première usine de Consentement disposait de 12.000 mètres carrés et dans elle 150 personnes travaillaient. Les premières voitures bombées de cette usine portaient un moteur postérieur et étaient similaires à ceux que l'entreprise acquise construisait. Bientôt, le groupe d'entrepreneurs dirigés par Giovanni Agnelli, a chargé la fabrication d'un nouveau moteur de devant.

En 1906 environ 2.500 personnes travaillaient déjà dans les installations de Consentement, l'avenir de la marque était splendide, dédié à construire des automobiles de luxe, il a profité du succès que ses voitures à des mains du propre Agnelli et de Vicenzo Lancia (un fils du propriétaire de l'usine de pâte et un fondateur futur de Lancia) obtenaient dans différentes compétitions sportives. En 1912 la fabrication a commencé dans une chaîne de modèle Zero et peu après arriveraient les modèles comme le Balilla et le Topolino qui ont été fabriqués en Italie et dans d'autres pays.

Après la 2e Guerre mondiale, le Consentement recommençait à fabriquer les petits modèles, un refuge parfait pour prendre une impulsion, pour s'enfoncer sur de nouveaux champs et pour élargir des horizons. Dirigée toujours par la famille Agnelli, le Consentement a commencé à acquérir le reste de signatures italiennes consacrées au monde de l'automobile, d'abord c'était Lancia, Abarth, Autobianchi et mythique Ferrari á côté de son écurie de Formule 1. Par la suite et en 1979 le Groupe Consentement a été créé et à l'antérieurement cité Innocenti, Alpha Soupirant et Maserati se sont unis, á côté des marques de camions Unic et d'Iveco.

Cependant, à la fin de 80 et tous 90, le groupe italien n'a pas passé par ses meilleurs moments et le frimeur de la faillite le guettait. En 1999 elle s'est trouvée obligée à signer un accord de coopération avec le géant américain Général Motors.

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Un consentement est né à Turin après la réunion soutenue par trente hommes d'affaires dont l'objectif commun était la fabrication d'automobiles. Sa première mesure a été l'achat d'une petite entreprise qui avait commencé la production de voitures à côté de l'usine de pâte de G. Lancia. Placée dans le Dante de Turín Corse, la première usine de Consentement disposait de 12.000 mètres carrés et dans elle 150 personnes travaillaient. Les premières voitures bombées de cette usine portaient un moteur postérieur et étaient similaires à ceux que l'entreprise acquise construisait. Bientôt, le groupe d'entrepreneurs dirigés par Giovanni Agnelli, a chargé la fabrication d'un nouveau moteur de devant.

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Cependant, à la fin de 80 et tous 90, le groupe italien n'a pas passé par ses meilleurs moments et le frimeur de la faillite le guettait. En 1999 elle s'est trouvée obligée à signer un accord de coopération avec le géant américain Général Motors.

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Cupra R; le Léon le plus cruel de Seat

La marque espagnole vient de mettre en vente le Seat désiré León Cupra R. Il atterrit aujourd'hui dans notre blog consacré au moteur le Seat le plus puissant de tous les temps, le Cupra R, 265 résumé le poussent pour atteindre quelques prestations d'infarctus authentique.

Sa mise de longueur a été dans le Salon de l'Automobile de Frankfurt et elle arrive à nos concessionnaires avec un prix initial de 29.500 euros. Fabriqué dans Martorell par Seat Sport, ses noms de famille le dénoncent, Cupra (Cup Racing) et R (un radical), indiquent que nous sommes devant la version jamais construite la plus sportive et puissante du Léon.

Click here to view the embedded un vidéo.

Le nouveau modèle de Seat dispose d'un promoteur TSI de 2.000 cc capable de remettre maintenant 265 un résumé, 25 un résumé plus que le Cupra antérieurement présenté. Le moteur dispose d'une technologie de piqûre directe et de bombe de combustible de surpression qui lui permet de sortir le meilleur de si le même dans toute circonstance. Le nouveau Cupra R est comparable dans une puissance avec le Léon TDI gagnant de Coupe du monde de tourismes WTCC.

Le changement associé au moteur est manuel de six relations et incorpore un autoblocante électronique XDS qui assure le contrôle maximal sur la voiture dans de difficiles situations. L'ensemble fait faire sauter au Seat León Cupra R de 0 à 100 kms / h dans à peine 6,2 secondes et sa consommation maintient très ajusté malgré ses prestations de 8,1 litres de bas chaque 100 kilomètres.

Les différences avec le Cupra précédent sont minimales. Le “R” situé dans son gril frontal et dans la grande porte postérieure, avec quelques pneus plus généreux ce sont ses signes d'identité. Le Cupra R monte quelques jantes d'alliage de 19 pouces et son système de freins a vu un mm amélioré avec disques de 345×30 dans les roues de devant et 286×12 un mm dans les arrières.

Son intérieur est égal de sportif que le reste de l'ensemble, les sièges sportifs détachent dans lui un type baquet, un volant sportif une multifonctionnalité doublé d'une peau et d'un tableau d'instruments illuminé chez une cible grâce à la technologie LED. Son équipement est très complet; des coussins d'air de dernière génération, des ancrages Isofix dans les sièges postérieurs, un indicateur de perte de pression dans les pneus, les capteurs de pluie, de lumières et de parcage, de contrôle de vitesse, de climatiseur et de système de son capable de reproduire MP3 avec 8 haut-parleurs.

Le nouvel Espagnol sportif jouit aussi d'un contrôle de stabilité, d'un contrôle de traction, ABS et d'un système de freinage assisté d'émergence.

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Une histoire de SEAT

La Société Espagnole d'Automobiles de Tourisme, de SEAT, est l'un de nos fabricants principaux des automobiles dès 1950, maintenant fait une partie du Groupe Volkswagen et depuis notre blog consacré au moteur nous lui rendons ce petit hommage.

• SEAT; l'Espagne.
• Fondée en 1950 par l'INI.
• Les modèles emblématiques : 600, 850, 1.400, 1.500, 124, 131, 132, Surveille, le Panda, le Rythme, la Malaga ….
• Les modèles dans une production : Une althaea, Tolède, Exeo, Léon, l'Ibiza.

SEAT, UN CONSENTEMENT est né à travers de l'Institut National d'Industrie et de son accord avec la signature italienne pour fabriquer sous permission ses modèles en Espagne. Il faisait une partie de l'impulsion que le Gouvernement franquiste a voulu donner à jusqu'alors une économie peu développée et fermée espagnole. Le lieu choisi pour sa situation a été la Zone franche de Barcelone, un point stratégique du passage d'articles.

Les premiers modèles choisis pour être reproduit en Espagne ont été le Seat 1400, la berline spacieuse que le Consentement commercialisait sous le même nom, et surtout, 1500, la berline de haute gamme qui a motorisé les classes les plus riches et 600, un petit véhicule du moteur et de la traction derrières qui est devenue peu de temps dans une icône nationale. De lui 800.000 unités se sont vendues dans 13 ans.

Par la suite bien que le lien du Consentement vécût, Seat a commencé à fabriquer ses propres modèles, plusieurs, des évolutions de ceux de la signature italienne, mais ils commençaient à porter son timbre. Entre ceux-ci 133 et le Sport nous pouvons ressortir 1200. Les modèles Fiat qui Seat a fabriqué dans les années 70 avec un grand succès ont été 124, 127, 131, Rythme et le Panda.

À la fin de 70 et déjà avec la démocratie instaurée, le marché espagnol a été complètement ouvert, et beaucoup de marques ont choisi de s'installer dans notre pays (Ford, Peugeot, Opel, Suzuki et Nissan, en plus de Renault, Citroen, Austin et Simca). La concurrence a grandi et Seat a perdu un rôle principal. Les accords avec le Consentement sont arrivés à sa fin et la marque espagnole a commencé à voler seule, maintenant avec deux plantes de production puisqu'il a acquis celle d'Austin à Pamplona.

Le lancement du Seat Ronda, il lui a valu à la marque espagnole un processus judiciaire par le plagiat interposé par son associé ancien Fiat, qui s'est résolu cependant en faveur de Seat. Peu après la Malaga et l'Ibiza sont arrivées, avec moteurs développés par Porsche et bien que son rythme de construction était bon et les exportations ils grandissaient, la marque qui était encore propriété de Gouvernement espagnol, elle a été vendue au Groupe allemand Volkswagen, auquel il appartient aujourd'hui.

Sous le contrôle allemand, Seat, a inauguré une nouvelle plante dans Martorell et il confronte l'avenir à coups des modèles comme renouvelé l'Ibiza, le nouveau Léon ou la berline élégante Exeo.

Une image Logo, SEAT 600, Seat l'Ibiza, Seat Tolède, Seat Léon

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Une histoire de Dacia

Poussée par le Gouvernement de son pays vers le milieu de 60, il est né avec la prémisse de construire des voitures bon marchées à la portée de tous. Elle arrive à notre blog du moteur, l'histoire du premier fabricant roumain de voitures, Dacia, aujourd'hui, composée dans le groupe Renault.

• Dacia; la Roumanie.
• Fondée en 1966. Sa première usine a été construite dans Mioveni
• Les modèles emblématiques : 1100, Varsovie, Lastun 500, Nonva, Solenza.
• Les modèles dans une production : Sandero, Logan, Sandero Break, Stepway.
• Un avenir : Dacia Duster.

Créée en 1966 sous l'auspice du Gouvernement roumain, Dacia a décidé de commencer sa production avec un modèle fabriqué bas il libère, puisque le développement d'un modèle totalement nouveau était très coûteux. Après avoir étudié des propositions de quelques marques européennes comme le Consentement, Peugeot ou Volkswagen, Renault a été finalement choisi pour acheter la permission de fabrication de l'un de ses modèles. L'élu a été le Renault 8 et ainsi le premier Dacia est né, sous le nom de 1100, c'était une copie exacte du modèle français.

Dacia 1100

En 1969, la fabrication du modèle s'est abandonnée 1100 pour commencer celle de la série 1200/1300/1400, cette fois basée sur le modèle récent de Renault soi-disant R-12, une voiture avec moteurs de 1.185 cc à 1.397 cc et tu promouvoir de 48 à 63 un résumé respectivement. Dacia inclut quelques modifications sur l'original pour qu'ils soient distingués, comme quelques groupes optiques ronds au lieu des phares habituels rectangulaires du R-12.

Dacia 1300

Il courait le 1980 quand Dacia reçoit l'ordre du Gouvernement roumain de fabriquer une voiture micro à un très bas prix. Le résultat est le Dacia Lastun 500, fabriqué dans Timisoara, ce véhicule a été fabriqué pendant 9 ans et il a récolté un grand succès entre les plus basses classes de Roumanie. Cette voiture totalement minimalista, un résumé disposait d'un moteur réfrigéré par air de 23, sa carrosserie était fabriquée d'une fibre de verre et atteignait une vitesse maximale de 105 kms / une h.

Tandis que cela arrivait, 1300 (R-12) continuait de se produire à bon rythme même étant exporté à d'autres pays du bloc socialiste. Dacia inclut quelques versions différentes de sa carrosserie mais la voiture continue d'être caractéristique. La série apparaît par cette époque 2000, un véhicule de plus grande catégorie qui s'est mise à être la voiture officielle des hauteurs dirigeantes du parti dans le pouvoir. Il n'était pas autre que la version roumaine du Renault 20.

Dans les années 90 apparaît la Dacia Nova, construite à partir de la carrosserie d'un Peugeot 309 et qui était bougée, grâce à un moteur Renault, pas précisément d'une dernière génération. Un an après les Dacia incluent la piqûre électronique Bosch dans ses moteurs et il apparaît le Super Nonva, une version améliorée du précédent avec le moteur du Clio 1.4 de Renault.

Dacia Logan de Lorenty

Et n 1998, le Groupe Renault sont faits par les actions de Dacia et sont alors quand la marque commence à progresser réellement et ses véhicules gagnent dans une qualité et une esthétique. Le premier fruit de cette union est le modèle “Solenza“, un est totalement renouvelé à l'intérieur et du dehors. Par la suite apparaîtraient le Logan et le Sandero, les véhicules modernes qui maintiennent l'esprit de la marque et dont le prix pour le consommateur n'est pas très élevé.

Une image du logo

Une image Dacia logan

Des images séries 1100 et 1300

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Flexfix, le portabicicletas d'Opel

Un dispositif conçu pour les amants du champ, des excursions dans un vélo ou pour des pays avec des habits plus salutaires qu'en Espagne, dans lequel les trajets dans un vélo sont une constante. Pour cela le Flexfix a créé, le portabicicletas d'Opel que nous te comptons dans ce blog de moteur. En principe, il sera disponible au moins pour la gamme d'Opel Astra, d'Antara et de Corse.

Sans aucun doute, si on augmente les ventes de ce système, la filiale de Général Motors, qui a maintenant des problèmes avec ses usines en Espagne, le promouvoir pour le reste d'automobiles qu'il a dans une vente.

Le système Flexfix est un élément confortable qui te permet de porter les vélos dans la voiture avec une plus grande facilité, non comme il a l'habitude d'être habituel, un endroit beaucoup plus inconfortable arrive, dans les impériales de l'automobile. Comme on peut lire à la page Web d'Opel, dans la référence à ce portabicicletas et à son usage simple, “il suffit de fixer la bicyclette au bras servoasistido pour la monter au toit ou pour la descendre au sol sans effort”, on ajoute aussi que “il permet de transporter 2 bicyclettes (l'une par support). Il est fixé sur le support de base”.

Click here to view the embedded un vidéo.

Ce système suit les standards de la signature allemande, qui se fient pour chercher le plus grand confort pour ses utilisateurs. De cette façon, le système Flexfix s'intègre dans le paragolpes postérieur du véhicule, comme il peut traitez dans le vidéo précédent. Quand il ne se pas utilise, le Flexfix se cache en restant invisible, donc le résultat est un Opel comme un autre n'importe lequel. De plus, son fonctionnement est simple, il ne faut pas faire d'installation ni nigún sobreesfuerzo à l'heure de charger les vélos, puisqu'il est situé dans une basse position. Il offre aussi peu de sonorité et peu de résistance aérodynamique.

Une image de wikipedia

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Une histoire de Citroen

L'histoire de la marque française est imprégnée d'un courage et d'une originalité. Citroen est une entreprise qui s'est toujours distinguée pour innover et inclure la technologie la plus avancée à sa portée chez tous ses modèles, en sortant des standards marqués par l'industrie automobile. Elle arrive à notre blog consacré au moteur, l'histoire du créateur de 2CV, un mythique des modèles que tous rappelons avec plus d'affection.

• Citroen; la France.
• Fondée en 1912 par André Citroen.
• Les modèles emblématiques : 10HP (premier Citroen), Traction, 2CV, DS, Dyane, GS, CX, BX, XM, SM, Xantia.
• Les modèles dans une production : C3, C4, C5, C6, C8.
• Un avenir : Nouveau DS.

L'entreprise a été fondée en 1912 par André Citroen, bien que, il n'a pas commencé à fabriquer des automobiles jusqu'à ce qu'il ne terminât pas la 1ère Guerre mondiale. Ses premiers modèles, 10HP, 5HP et Rosalie, étaient voitures avec carrosserie d'acier et d'un moteur flottant sur un support de gomme. L'acceptation de la part des consommateurs était bonne et Citroen a voulu aller plus loin. La signature française a abordé le projet ambitieux appelé 7 un résumé Traction, voiture totalement différente, avec carrosserie un monocoque et une traction de devant. Le développement coûteux de 7 un résumé a porté Citroen sur le point de la ruine.

Citroen 7CV Traction d'exfordy

Michelin est arrivé au sauvetage, a aidé à terminer le Traction et quand la 2e Guerre mondiale a été terminée le développement a commencé de mythique 2 un résumé, l'un de ses plus grands succès. 2CV il a motorisé la France, il a ouvert le marché à tout le monde inclus à ces personnes qui n'ont jamais pensé à la possibilité de lui acheter une voiture. Totalement minimalista, 2CV, était quatre des places avec un moteur de devant réfrigéré par air et suspensions bamboleantes qui est devenu tout un symbole pour le pays.

Citroen 2 un résumé d'exfordy

Une autre date importante dans l'histoire de Citroen est 1955, l'année dans laquelle est apparu le DS, berline de lignes très avancées pour son temps, il incluait la suspension hidroneumática, une évolution technique authentique. Avec le DS, la signature française a obtenu un grand avantage sur ses rivaux. Cependant, il n'a pas su couvrir le creux existant entre 2Cv (un bas segment) et le DS (un haut segment) tandis que Renault et Peugeot s'ils l'ont fait, le gâteau des ventes étant distribué.

Citroen DS d'exfordy

Citroen a couvert le segment moyen du modèle GS en 1970, pour celui-là alors les autres deux signatures françaises lui portaient un avantage appréciable dans le développement de ses modèles. Citroen alors, il a cherché des alliances avec d'autres marques pour essayer de planter un visage, mais aucune n'a fonctionné. En 1974 Michelin a décidé que le meilleur était de fusionner à Peugeot et de former un groupe plus puissant. Après cet accord ils ont surgi les modèles comme le XM ou le BX et maintenant les voitures de Citroen partagent des composants avec les Peugeot. Il semble que l'avenir se présente débarrassé pour Citroen qui continue d'innover et de présenter les modèles aussi spectaculaires que l'Hypnos.

Citroen C4 WRC d'exfordy

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Une histoire de Chrysler

Aujourd'hui dans notre blog consacré au moteur nous parlons de celle qui a été la troisième plus grande entreprise du monde de l'automobile, elle, ils formaient le groupe Chrysler des entreprises comme Jeep, Daimler ou Dodge. Maintenant et depuis un mai de cette année le Consentement appartient au groupe italien.

• Chrysler; les États-Unis.
• Fondée en 1924.
• Les modèles emblématiques : B-70 Maxwell, Airflow, LeBaron, 300, Cordoue, PT Cruiser.
• Les modèles dans une production : Grand Voyager, 300C, Sebring.
• Un avenir : 200C EV.

Chrysler Airflow de Hugo90

Cette marque prestigieuse américaine, il est né en 1924, dans le vestibule d'un hôtel. Walter P. Chrysler avait réussi à fabriquer un automobile, le Chrysler 70, on lui a refusé la participation dans le Salon de l'Automobile de New York et comme un dernier recours a décidé de visiter les entrepreneurs qu'ils assistaient à tel événement à son propre hôtel accompagné de sa création flambant neuve. Le véhicule a plu et grâce au nombre reçu de commandes il a pu initier sa production à l'usine de Maxwell, l'entreprise à laquelle il était directeur. Avec cette infrastructure il ne pouvait pas s'occuper de toutes les commandes, dès que je choisis d'acheter Dodge à ses fondateurs et de commencer à créer un empire.

Chrysler 300 de Hugo90

De cette forme le groupe Chrysler sont nés en 1928, jusqu'à des principes de 80 sa santé était d'un fer, il a été dans cette époque quand ont commencé les problèmes. Une grave situation économique l'a obligé à vendre certains de ses filiales européennes, comme Talbot et Simca, et à demander une aide au Gouvernement des États-Unis. Là la figure de Lee Lecocca est apparue, sa gestion et une alliance avec le géant japonais Mitsubishi pour fabriquer ses véhicules dans un territoire américain ont sauvé la situation et Chrysler a passé d'une vendeuse à une acheteuse, en ce temps-là il a été fait par la Jeep et il n'a pas arrêté de grandir jusqu'à se placer tout près de Ford et Général Motors.

Chrysler Cordoue de Hugo90

Vers le milieu de quatre-vingt-dix c'était une entreprise forte et assainie, dirigée par Bob Eaton, il a accédé à s'unir à un autre géant de l'industrie automobile, Daimler Benz, et en 1998 la fusion s'est rangée, l'une des plus spectaculaires des derniers temps. La fusion n'a pas fini par être positif pour aucune de deux entreprises et Chrysler a choisi de se séparer et de passer aux mains de groupe Cerberus qui vendrait par la suite au Groupe italien le Consentement.

Chrysler 300C de Willvision

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Une image du Chrysler 300C

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